mardi 5 juin 2007

Europe : Nicolas Sarközy rallume l'espoir

Depuis le non français au référendum, la réforme des institutions européennes est au point mort.
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Le nouveau président est donc très attendu par nos voisins ; de Rome à Berlin en passant par Bruxelles, chacun a été rassuré par son projet de traité simplifié.
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Paradoxe : le nouveau président français n'était pas réputé le plus européen des candidats à l'élection présidentielle.
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Nicolas Sarközy, lui, avait lancé l'idée d'un « mini-traité » permettant une ratification par voie parlementaire, et donc une relance rapide.
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Les points d'accord ont cependant été nombreux : sur la nécessité d'une présidence stable du Conseil européen ; sur l'existence d'un ministre des affaires étrangères ; sur l'établissement de nouvelles règles de majorité afin, comme le dit Nicolas Sarkozy « que les pays qui veulent avancer ne soient pas bloqués par ceux qui ne le veulent pas. »

Jean-Marie Colombani dans Challenges du 31 mai 2007.


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